Cinq arguments pour la non-mixité au lycée
1. Les classes non-mixtes obtiennent de meilleurs résultats.
La non-mixité permet aux garçons de progresser plus rapidement, et d’obtenir de bien meilleurs résultats scolaires, comme le prouvent les études des autres pays. Elle constitue donc un avantage pour réussir de bonnes études supérieures.
2. Le décalage garçons-filles se poursuit encore au lycée.
La maturité intellectuelle des filles est encore, très souvent, supérieure à celle des garçons au lycée. Le peloton des premiers de classe est encore, jusqu’en terminale, composé en majorité de filles. Si l’on veut être dans la première moitié de la classe, il vaut donc mieux choisir une classe non-mixte.
Rapport officiel qui montre l’écrasante supériorité des filles :
http://media.education.gouv.fr/file/2010/28/6/F_et_G_sur_le_chemin_de_l_egalite_2010_139286.pdf
3. La présence des filles, à l’âge de l’adolescence, est une source de distractions.
Il existe, dans les classes mixtes, un jeu de la séduction qui demande, pour quelqu’un qui vient de la non-mixité, un temps d’adaptation et de formation important. La découverte du jeu des relations, des petites rumeurs, les codes d’habillement et de langage, demandent du temps et de l’effort. Ce temps n’est pas utilisé au travail, et n’est pas, finalement, très utile.
4. On doit éviter, si l’on peut, de tomber amoureux trop tôt.
Avant le bac, il est bon qu’un jeune garde ses distances et sa liberté dans le domaine sentimental. Les amours trop précoces ne méritent pas le nom d’amour, car une personne trop jeune ne peut réellement se donner à l’autre. La vie sentimentale est une chose importante, que l’on ne doit pas mener dans l’imprudence.
5. Faire partie d’un groupe de garçons constitue une grande chance à 16-18 ans.
C’est l’âge de la réflexion et des grands projets. Le garçon construit avec ses amis une relation plus complète et harmonieuse qu’au collège, fondée sur la parole et sur la discussion. Il a plus de volonté et peut aller jusqu’au bout de ce qu’il entreprend en équipe. C’est aussi l’âge de la grande amitié.